Rainer Maria Rilke Une Chevauchée…
Portes à 19:45; Spectacle à 20:30.

Une scénographie d’Infini. Pas d’endroit où vraiment s’installer. Pas de lieu de repos. Un acteur, deux actrices, nous mèneront au bout du chemin que j’imagine en nous faisant entendre souvenirs de jeunesse puisés dans les Histoires Pragoises, réflexions, lettres, poèmes en prose, témoins de la vie et de la mort du poète Rilke.
Le cheminement sera scandé par les strophes de « La mélodie de l’amour et de la mort du Cornette Christoph Rilke », si prémonitoires de l’existence du poète lui-même. Voici la trame du spectacle. Une discrète illustration musicale là où elle me vient en travaillant sur le sujet, soutiendra l’avance de Rainer Maria Rilke vers l’apaisement et l’accomplissement qu’il espère. La langue allemande ne sera pas absente, souvent en “o”, parfois dite lorsque Rilke et Merline Klossowska mêleront leur langue maternelle à leurs échanges épistolaires en Français.
François Landolt – 20 octobre 2016
- Metteur en scène
- François Landolt
- Assistante
- Isabelle Vallon
- Comédiens
- Laetitia Barras
- Anna Krenger
- Chady Abu Nijmeh
- Texte dit en allemand
- Richard Vogelsberger
- Régie
- Adrien Gardel
- Son / Vidéo
- François Planson
- Scénographie
- Sasha Landolt
- Costumes
- Scilla Ilardo
- Maître de Capoeira
- Formando Zamis
- Production
- Fondation l’Estrée
- Accueil
- Brigitte Caloz
- Jean-Bernard Demont